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L’avenir de l’Humanité est elle aussi radieuse que celle du BOSPHORE?


Les manigances locales au grau-du-roi n’aident en rien les actions réelles de sauvegarde du patrimoine, de propositions positives pour l’environnement… voire sont néfastes pour la protection de l’environnement et notre avenir à tous sur cette planète.


Voici où nous en sommes aujourd’hui sur le projet BOSPHORE et il convient de revenir sur la genèse: 


Depuis que l’association a récupéré le navire le BOSPHORE, le chantier SPANO au grau-du-roi n’a cessé de vouloir se débarrasser d’une erreur du passé faite par Mr. Spano père en réceptionnant ce navire.

Pour rappel de l’historique court et dense de ces dernières semaines :

Le 16 Avril 2023 nous prenons propriété de ce navire.

Nous sommes le 17 avril sur place. A partir de cette date la famille SPANO nous à harcelés pour que ce navire parte de chez eux alors qu’il n’était pas en état de naviguer.

Nous avons découvert que SPANO père à fait un devis oral (méthode cohérente?) auprès de l’ancien propriétaire de 20000 - 25000 euro pour le rénover sans l’avoir vu. Une fois le bateau sur place, le devis (toujours oral) a été de 120 000 – 200 000 euro selon les humeurs de Monsieur Spano.

Le chantier à tenté entre le 17 avril et aujourd’hui pour se débarrasser de ce problème de diagnostic et de devis de réparation hasardeux. Constatant notre détermination, ils ont usé de nombreux moyens perfides pour dégrader le navire et le poser hors de leur zone de chantier.

Le 1er / 2 Mai le chantier SPANO fait des manœuvres au cours desquelles il semble qu’il y ai eu un impact puisqu’une voie d’eau importante apparait juste en dessous de la ligne de flottaison sur flanc bâbord. A aucun moment le CHANTIER ne nous à faite part du poindre incident mais nous constatons le fait in situ et surtout leurs factures trahissent l’état nouveau du bateau à partir du 1er Mai: car la facture du 12 mai indique des coûts de pompage entre le 1er et le 11 mai alors que la facture du mois d’avril n’avait aucune mention. A cette époque GREEN ARMADA n’était pas content de payer ces frais liés à une erreur de leur part mais à laissé faire dans le but de trouver une solution amiable à la suite à donner à ce navire. pour rappel ce navire, après rénovation sera un navire école et d’exploration.

La facture SPANO du 12 mai à été éditée à cette date car ce jour là, ils ont tenté de forcer un convoi non règlementaire avec un chalutier de pêche qui n’était pas habilité à ce type d’exercice. le propriétaire du chalutier et l’asso., nous sommes rendus aux affaires maritimes et avons eu confirmation que ce convoi était illégal voire dangereux, nous avons donc convenu que ce n’était pas raisonnable de suivre les instructions insistantes du chantier SPANO. Par ailleurs et en tant qu’armateur j’y ai émis une opposition ferme car le navire prenait l’eau de manière déraisonnable et que c’était suicidaire de faire partir un navire dans ces conditions, risquant un évènement écologique important si le navire coulait. nous avons au moins évité une situation écologique majeure négative!

Nous en avons parlé de vive voix le 13 mai 2023 avec SPANO père. Conversation au cours de laquelle il nous dit textuellement: « ce bateau, on aurait dut le faire partir au large, couper les mâts et le faire couler là où les pêcheurs savent qu’il ne faut pas aller ». ces même paroles ont été r&pétées par le fils et un bricoleur de montages vidéos local. 

Vu les méthodes et intensions irresponsables constatées lors de cette conversation, l’asso à commandé une expertise maritime qui a eu lieu le 15 mai à 09h00. Expertise qui confirme en particulier que le navire n’est pas en état de naviguer et confirmant les travaux urgents à faire avant de pouvoir envisager de le déplacer. l’asso a donc demandé à Monsieur SPANO si le chantier pouvait envisager ces travaux mais il a refusé toute intervention.

Le 17 Mai vers 17h30, je suis contacté par la presse me disant après avoir parlé avec Mr. Lucien Topie (5ème adjoint à la mairie en charge du port qui n’à jamais voulu nous parler et se cache encore aujourd’hui) que le navire a coulé; nous constatons vers 19h00 en se déplaçant sur place, que le navire n’à pas coulé mais a été posé sur un fond vaseux en sauvage à côté de votre chantier.

L'asso contacte Mr. SPANO père ce jour-là (mercredi à 19h08) et il nous mets devant le fait accompli, indiquant que:

- le chantier SPANO assure un accès à l’électricité pour le bon fonctionnement de la pompe de calle et éviter que le navire ne sombre du fait de la voie d’eau (résultant de leurs négligences).

- les deux barres de navigation sont constatées absentes et Mr. SPANO père nous précise qu’elles ont été mises de côté et qu’on pourra les récupérer le surlendemain matin car le chantier veut nous voir à ce moment (sûrement pour extorquer encore un peu d’argent). Nous sommes dès le lendemain (le 18 mai à 08h15) sur le chantier et demandons à SPANO fils où sont les barres et qu’on est là pour les récupérer. Celui-çi fait semblant d’être surpris et déclare avec un sourire narquois que les barres ont été volées. En 12 heures les barres sont passées du status « récupérées » au statut « volées".

Par la suite Messieurs SPANO père et fils ont été convoqués dans la matinée en gendarmerie et l’OPJ a constaté les incohérences des déclarations des deux personnes. L'asso décide de faire donc une simple déclaration de vol sans préciser qui sont les voleurs pour permettre de maintenir le navire branché au 220V du chantier.

Le lundi 29 Mai vers 12h30, notre membre d’équipage installé en H24 sur le bateau vu les risques de vols/le risque de sombrer du bateau constate la coupure de l’électricité en tiens informé le CODIR de l’Asso. A cet instant SPANO père est contacté et nous annonce de but en blanc que le chantier ne veut plus plus donner accès à l’électricité au navire, condamnant ainsi le navire à une prise d’eau et un naufrage inévitables. le Navire est évacué par l’équipage à 15h15.

Le chantier SPANO à délibérément et de manière systématique TOUT fait pour que le navire en arrive là où il est ce jour, protégé par des élus locaux. Comment ne pas parler autrement que de système mafieux!

Nous mettons tout en oeuvre pour faire évacuer le navire de cet emplacement sauvage et éviter d’impacter l’environnement ainsi que pour positionner le navire en sécurité loin de ces attitudes néfastes. 

Tout Mécène souhaitant faire aboutir ce projet et aider à la rénovation du navire est invité à se faire connaitre. Un recours en justice est en cours pour faire la lumière sur toute cette affaire.

 


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Le projet BOSPHORE est suivi pa r le Midi Libre du 1 1 Juin. Grau-du-Roi, Depuis début mai, le port du Grau-du-Roi est le théâtre d’une histoire abracadabrantesque, où l’enthousiasme et l’espoir de son protagoniste, Olivier Cheyrezy, président de l’association Green Armada, se sont mués en amertume teintée de colère. Celui-ci est l’actuel propriétaire du Bosphore, une goélette aurique (aux voiles quadrangulaires) de la fin des années 80, ex-annexe d’un navire école de la marine nationale, dont les jolies rondeurs et le caractère trempé se devinent sous le vernis défraîchi. Tout commence mi-avril, lorsque cet entrepreneur dans le secteur du plastique résidant à Bessèges, dans les Cévennes, capitaine-armateur à ses heures perdues, récupère le voilier pour son association. « Celui-ci appartenait à Miss Évasion, une association œuvrant dans le tourisme, qui l’avait confié au chantier naval Spano & fils, au Grau-du-Roi, pour rénovation. L’arsenal avait alors devisé oralement de 25 000 à 30 000 € de travaux, sans avoir inspecté le navire a priori. A posteriori, en effet, il a multiplié le montant par six (!), mettant Miss Évasion dans une situation inextricable. Et nous ensuite. » Des missions scientifiques Olivier Cheyrezy a fondé Green Armada avec l’ambition de « trouver un bateau et d’y embarquer des spécialistes pour des missions scientifiques entrecoupées d’animations pédagogiques ». Ainsi, il espérait se rendre en 2024 à Madagascar « pour y recenser les lémuriens endémiques, pour le compte de l’Institut Charles Darwin International ». « Aussi, quand Miss Évasion nous a fait don du Bosphore en échange de la prise en charge des réparations, nous avons sauté de joie », se souvient-il. Le hic : « Seul le montant de la première estimation nous a été communiqué, pas le second. » Puis les déconvenues se sont rapidement enchaînées. « Durant la première quinzaine de mai, nous avons appris que la goélette avait subi une avarie, vraisemblablement lors d’une manœuvre dans l’enceinte de Spano & fils. Le chantier a alors voulu se débarrasser du problème en coulant le navire au large, une pratique aussi dangereuse qu’illégale que nous avons empêchée. En conséquence, le 17 mai, il a garé le bateau dans une zone sauvage, sur un fond vaseux, à quelques mètres de là. Il l’a équipé d’une pompe pour évacuer l’eau, avant de couper l’électricité le 29 mai. Et deux jours plus tard, le bateau a chaviré. » Transformée en restaurant Samedi 3 juin, le Bosphore gisait donc en contrebas de la rue des Médards au croisement du Vidourle et du canal du Rhône à Sète, au cœur de la marina. « C’est fini, nous ne pourrons pas l’utiliser pour notre projet, déplore Olivier Cheyrezy. L’assurance devrait prendre en charge son extraction à l’aide d’une grue. Puis la goélette sera transformée en restaurant, à Bessèges. » « C’est triste d’en arriver là, après des semaines de lutte et de vaines sollicitations des autorités, en particulier des élus du Grau-du-Roi. D’autant que la Ville aurait pu s’associer à l’aventure… », conclut le chef d’entreprise. D’un naturel optimiste, celui-ci assure repartir prochainement en quête d’un autre bateau, et de mécènes. Au port du Grau-du-Roi, la goélette Le Bosphore gît sur le flanc après un mois d’âpre bataille pour la renflouer, au grand dam de son propriétaire qui voulait en faire un navire d’exploration. Benjamin Janssens redac.nimes@midilibre.com Réactions Pour Florentin Spano, dirigeant du chantier naval Spano & fils, « ce type est fou. Il veut un bateau refait à neuf pour 20 000 € alors qu’il y en a pour 250 000 €. On lui a dit qu’on n’en voulait pas, qu’il devait le récupérer. Comme il ne se manifestait pas alors que le bateau allait couler, on l’a mis à l’entrée du chantier, avec l’accord de la mairie. Et on s’est occupé du pompage. Mais qui allait payer l’électricité ? On l’a donc coupée, et c’est heureux que le bateau se soit couché du bon côté. Quant à la voie d’eau qu’on aurait causée et cette histoire de remorquage au large pour le couler : c’est totalement faux ». Pour Lucien Topie, 5e adjoint au maire du Grau-du-Roi, délégué au port de pêche, « ce problème, c’est celui du propriétaire, pas le nôtre, et nous allons le lui signifier. Et il faudra qu’il agisse vite, car le bateau est en train de pourrir. Pourquoi devrait-on s’occuper de cette épave ? Et quel chantier en voudrait ? Sa réparation coûterait une fortune… » ----- Erratum Une formulation de phrase dans l’article du Midi libre laisse à penser que le Bosphore (anciennement Neretis) à été un navire de la marine nationale. Ceci n’est pas le cas; par contre en tant que navire privé elle a été exploitée en sous traitance avec le navire école de la marine nationale pendant trois ans.
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